Sylvie
Germain a été longtemps un de mes écrivains préférés (surtout avec Le
vent reprend ses tours) mais cela fait deux romans d'elle qui me
déçoivent (l'autre est La puissance des ombres).
Non
pas qu'elle ait perdu son style original, poétique et onirique, mais
ces deux livres sont tellement noirs qu'ils démoraliseraient n'importe
qui !
Brèves de solitude commence dans un square où l'auteur nous décrit quelques personnages, juste avant le premier confinement.
La suite du roman nous décrit ces mêmes personnages pendant ce confinement.
Les
avis sur Babelio sont très partagés; certains y voient une belle
observation des solitudes modernes, d'autres, comme moi, avouent leur
déception.
Bénédicte