L’occasion s’est présentée pour moi de lire ce roman sur lequel en 2020 les commentaires de Monique et Claude avaient attiré mon attention.
J’ai été séduite par l’habileté et le brio avec lesquels l’auteur nous offre la découverte d’une histoire de famille, celle d’immigrés espagnols fuyant la Guerre Civile .
Dans la présentation par Olivia Ruiz et que j’ai écoutée grâce aux « bonus » de Lisons-Lisette, on comprend ce qui s’attache de viscéral à ce surgissement d’un récit découvert sur le tard par la petite fille de Rita grâce à l’héritage de la commode. Un objet, certes, mais qui contient l’histoire encore inconnue de cette grand_mère.
Tout m’a donc plu dans ce livre, que je supposais bien à tort de l’espèce « feel good » . Dans la vie assoiffée de liberté de Rita et si bien peinte par une écriture ardente, il me semblait retrouver la présence de sentiments déjà exprimés par des paroles de femmes, celle de Lena, par exemple de L’Amie Prodigieuse…
Un petit bémol quant à l’épilogue, dommage !
Marie Thérèse 8-2022